Textes des Têtes de Ouf

Carla (1989)
Amarok (1990)
Paris Craint-il (1993)
Zygote The Blues (1994)
Les Bongos Sur La Galerie (1994)
Théologie (1999)
Contagion (2007)
Voler Mon Vélo (2007)
Johnny, Toujours Pas (2009)
Prendre Son Temps (2009)
La Grippe à Bachelot (2010)
Le Sourire d'Ayoub (2011)
Safari Cougar (2011)
Le Petit Fonctionnaire (2012)
Migrateur (2012)
Des Graviers Dans La Cour (2013)
Vice Versa (2013)
Danser Avec Moi (2013)
Baiser La Mort (2014)
Rire de Tout (2014)
Mélanger Les Couleurs (2014)
La Caravane (2014)
Magasin Général (2014)
Jean-Pierre Le Nord (2015)
Vivre Ensemble (2015)
Niort Avec Toi (2015)
Quel Bordel ! (2016)
Y'En a qui (2016)
Mme Brochard (2016)
Ne T'en Déplaise (2016)
La Tête De Samothrace (2016)
Ils (2016)
Marcher (2017)
Je Pisse Dans l'Eau Potable (2017)
C'est Celui Qui Dit Qui Hait (2017)
La Bougie (2017)
Hier, Aujourd'hui, Demain (2018)
L'Herbe (2018)
National-Socialiste (2018)
La Porte de l'Eglise (2018)
Fuck News (2019)
L'Errant Tolérant (2019)
T'Occupe (2019)
Monsieur Pediculus (2021)
On Ira (2021)
Debout Les Morts (2022)
Les Bonbons Au Cochon (2022)
Les Gens (2022)
Madame (2022)
On Est Bien (2022)
Perdre Son Temps (2023)
La Petite Voix (2023)
La Retraite de la Préfète (2023)
Peu De Chose (2023)
Mes Chers Compatriotes (2023)
D'Orient et D'Occident (2024)
OK Pour Elle (2024)
Enfants de Sale Eau (2024)
Je Ne Sais Pas (2024)
Dur à Dire (2024)
 La Tête De Samothrace (2016)

Les politiques les commerciaux
Les publicistes les pédagos
Qui vendent des rĂŞves des garanties et des cadeaux

Les assureurs c’est des menteurs
Et les agents immobiliers
Mangent les crabes dans le mĂŞme panier

IN VINO VERITAS SUR LA TETE DE SAMOTHRACE
DANS LES YEUX DES AMOUREUX
QUAND ILS LE SONT TOUS LES DEUX

Non je n’ai pas de compte caché
Non je ne me suis pas dopé
A moins que ce soit à l’insu de mon plein gré

Et ce nuage inoffensif
Parti d’une poubelle nucléaire
Et qui s’est arrêté tout seul à la frontière

Rien n’sert de jurer ses grands dieux
Que dans cinq ans tout ira mieux
Les aristos on ne les pendra pas

C’est comme ces pauvres abrutis
Qui se tripotent la ceinture
A qui on a promis le paradis